En transition bio depuis bientôt 2 mois, on se rend mieux compte de ce que cela représente. D'abord plus de travail ! On utilise en effet des bactéries pour lutter contre certaines espèces "nuisibles" ou entrer en compétition avec les bactéries ou moisissures responsables de maladies, d'où un plus grand nombre de traitements qu'en production conventionnelle. Les engrais organiques (voir photos) demandent aussi plus d'efforts : environ 30 tonnes épandus au lieu de 2 ou 3 !
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Bien que Viviane et moi soyons toujours au Costa Rica, peut-être même jusqu'en mars ou avril prochain vu la situation, je ne participe guère à ces travaux, mes problèmes de dos me maintenant surtout en position couchée. Cela me laisse du temps pour les prises de décision (nombreuses) et impose à Viviane de se charger des courses et des transports nécessaires pour les cultures, comme ci-dessous avec des sacs d'engrais organiques.
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La photo de droite illustre un autre travail rendu obligatoire par la transition bio, la séparation claire avec le voisin cultivateur de café. Des caféiers ont été éliminés pour laisser place à un écoulement d'eau au bord duquel des arbustes (hibiscus) ont été plantés sur la droite et divers types d'arbres qui les domineront sur la gauche.
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Pour terminer, le café de la nouvelle récolte a traversé l'Atlantique et va bientôt arriver à destination. Les 3 variétés seront à nouveau disponibles d'ici quelques semaines. En attendant, la variété Caturra est toujours disponible et nous sommes toujours heureux de recevoir par Email vos questions ou commentaires.
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